6ème extrait du livre

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Parfois, un des problèmes de départ reste inchangé, comme si le problème apparent était en fait une protection, comme si la personne avait un intérêt inconscient à le garder.
Cette réflexion est d’une importance capitale concernant toute la médecine en général et remettant en cause le terme « thérapies douces ».
En effet, quiconque a une expérience suffisante dans ce domaine et parvient encore à voir les choses avec clairvoyance et honnêteté intellectuelle l’aura remarqué : la médecine interventionniste, qu’elle soit allopathique ou autre, fait parfois pire que bien !! L’exemple le plus galvaudé mais pas encore universellement connu, malheureusement, est celui de

Parfois, le problème persiste tout simplement parce qu’il est dû au vieillissement et que certains des troubles qui accompagnent cette phase de la vie sont inévitables.
Malheureusement, une des déviations de notre société occidentale est la difficulté d’accepter la mort. Pourtant, quoi de plus naturel ???
Qui dit naissance et vie dit AUTOMATIQUEMENT mort. A mon sens, c’est précisément en fin de vie que la méditation apporte ses cadeaux les plus beaux et les plus émouvants. Elle peut permettre à la personne en souffrance et en doute de mieux accepter cette loi universelle qu’est celle de la vie liée à la mort et de découvrir un monde de félicité allant au-delà de la souffrance physique et au-delà de l’acceptation de la maladie et de la vieillesse.

La maladie, la douleur, les troubles psychosomatiques ne viennent pas de rien et ne sont pas dénués de sens. Il peut s’agir, comme dit plus haut, d’un message que le corps essaie de faire passer, d’une protection contre un problème qui serait pire si le trouble était enlevé artificiellement, etc.


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